moilesautresart x Anastasia Simoninédition.psd n°4 : Celle qu'on veut pigeonner
L’équipe de Peinture Fraîche est heureuse de vous convier le jeudi 6 avril au lancement de Celle qu’on veut pigeonner, édition.psd n°4, de 17h30 à 21h au 9 de la rue Lesbroussart. La soirée débutera par l’écoute de la carte blanche Celle qu’on veut pigeonner produite sur invitation de David Le Simple et Pauline Rivière à Bonjour Mardi et sera suivie du lancement de l’édition.psd n°4. Réservation obligatoire par mail (info@peinture-fraiche.be) pour la première partie de soirée.
17h30-19h: Écoute de la carte blanche Celle qu’on veut pigeonner produite sur invitation de David Le Simple et Pauline Rivière à Bonjour Mardi.
Bonjour Mardi invitent les collectives dont iels suivent le travail à sortir du format de l’agenda hebdomadaire et à proposer des pièces sonores en direct. Celle qu’on veut pigeonner est la carte blanche de la collective bruxelloise moilesautresart et de l’artiste marseillaise Anastasia Simonin. C’est une version audio de leur édition.psd numéro 4 Celle qu’on veut pigeonner qui explorent les multiples facettes d’un oiseau bien connu.
19h-21h30: Lancement de l’édition.psd n°4 Celle qu’on veut pigeonner
Les éditions.psd regroupent des documents de recherches et des textes autobiographiques ou poétiques pour créer d’autres narrations autour des formes de vies végétales et animales. Ces revues opèrent un décloisonnement des savoirs: botanique, ethnographie, histoire, histoire de l’art, philosophie et littérature s’y entremêlent régulièrement. Les éditions.psd tentent de faire émerger une éthique de la perception particulière des situations, des moments, de ‘ce qui se passe’.
Celle qu’on veut pigeonner est le quatrième numéro de cette série de revue. moilesautresart est rejointe par l’artiste Anastasia Simonin, à l’origine de cette recherche autour des imaginaires pigeon·nes:
“Des rats volants, porteurs de maladies. Voilà l’image que nous avons des pigeon·nes. Ces oiseaux, aujourd’hui dénigrés, ont pourtant une longue histoire de collaborations et de cohabitations avec les humain·es, les associant à des messager·ères fidèles, des pigeons-soldat, ou à des volailles. Un rapide coup d’œil à une encyclopédie contemporaine nous apprend que ‘colombe’ serait un autre nom vernaculaire pour le·a pigeon·ne. Nous pouvons donc rajouter à notre liste le saint-esprit et la colombe de la paix.
Cette revue suit les trajectoires et ruptures des imaginaires pigeon·nes en s’appuyant sur les décryptages étymologiques d’Alain Rey, une chanson du film Mary Poppins, un rêve d’Ellena Savage et l’observation du Monument au pigeon-soldat à Bruxelles.”